Grâce à la production de gazon artificiel paysager à partir d’un seul ADN matériel, LimeGreen® a réussi à introduire tous ses domaines d’une manière circulaire sur le plan matériel et technique. De plus, cette méthode de production innovante permet d’économiser 90 % de l’énergie qui était auparavant nécessaire à l’assemblage du tapis de gazon artificiel à partir des fibres et du support. LimeGreen® compense désormais systématiquement les émissions de CO2 restantes grâce à son nouveau partenariat avec Justdiggit. Ce partenariat soutient les initiatives écologiques de Justdiggit en Afrique : « Refroidir la Terre en contribuant à rendre l’Afrique plus verte ».
COMPENSATION VERTE
Jasper Eppingbroek, directeur de LimeGreen® à Lichtenvoorde, est enthousiasmé par ce nouveau partenariat : « Grâce à notre partenariat avec Justdiggit, nous obtenons des résultats tangibles en matière de compensation verte de nos émissions de CO2 restantes. Au cours des trois premières années, il s’agit d’une zone de verdissement en Afrique de pas moins de 1 200 000 mètres carrés de surface terrestre. Au cours de la période à venir, jusqu’en 2025, nous restaurerons ensemble 5 100 arbres et assurerons le captage et le stockage de 78 millions de litres d’eau de pluie sur le site. Cela aura un impact positif local sur la vie d’au moins 600 personnes. En outre, elle a déjà un effet positif sur notre équipe, car l’engagement interne est important ! Nous sommes extrêmement fiers de cette initiative. Pour commencer, nous compensons environ 990 tonnes d’émissions de CO2 vérifiées. C’est notre premier pas concret vers les initiatives vertes de Justdiggit et de nous-mêmes. »
CO2-NEUTRE
D’ici 2030, LimeGreen® vise à produire et à livrer l’ensemble de son gazon artificiel paysager de manière entièrement neutre en CO2, y compris la logistique et la (ré)installation des champs dans les jardins, dans les cours d’école et aux alentours, dans les espaces publics et sur les balcons et les terrasses. Jasper Eppingbroek explique : « J’ai la ferme impression que d’ici cinq ans, le marché du gazon artificiel n’installera plus de terrains composés de plus d’un matériau ADN.